François Cardinal
sur CyberPresse.ca
La publicité sauvage, c’est un plus ou un moins dans une ville comme Montréal?
... Veut-on vraiment que n’importe qui affiche n’importe quoi n’importe où, sous prétexte que la pub est une forme d’expression consacrée par la Cour suprême, et donc protégée par la Charte des droits?
Veut-on vraiment que l’affichage sauvage soit toléré sur les planches de bois qui protègent les immeubles désaffectés, sur les boîtes postales et les lampadaires de la ville?
Puis je suis allé lire l’argumentaire de la COLLE qui, franchement, a eu raison de mon scepticisme.
(suite sur CyberPresse.ca)
Il n'en demeure pas moins que l'affichage sauvage, autrefois un outil de guerilla marketing, devient aujourd'hui une élément visuel important de nos villes. Car si vous observez bien, la majorité de ces affiches est issue du milieu culturel (incluant les Musées, les spectacles, le théâtre, etc.) et contribuent donc à habiller plus qu'à détériorer notre environnement visuel. Ces affiches témoignent du dynamisme de nos villes en terme de communication visuelle et demeurent, pour les graphistes, un moyen d'expression privilégié, à défendre.
RépondreSupprimerVive l'affichage dans la rue sur des surfaces urbaines, sans grand intérêt sinon!